» Vertige? )} Owen

Pourquoi Poudlard possédait-il une volière? Franchement, cet endroit était totalement nul et inutile. Qui prenait encore le temps d’écrire à ses parents à Poudlard? Bon, d’accord. Sans doute plein de gens. Mais Casey, elle n’avait personne à qui écrire. Sa mère était décédée, sa grand-mère de même, et son père était nous ne savons où à des miles de la jolie blonde. Voila sans doute pourquoi elle ne voyait pas l’intérêt de cet endroit. En plus, c’était haut, et pour une joueuse de Quidditch, la demoiselle avait un peu peur de l’altitude. Elle s’efforçait de faire des progrès pour son équipe mais... Donc la volière était située, en haut de beaucoup de marches et en plus, ça puait la fiente d’oiseau. C’était immonde. Casey avait horreur de cette odeur et de ces volatiles à la con. Pas plus utiles qu’une vache sans lait. Comparaison plus qu’intéressante, que nous allons passer si vous voulez bien.

Ce matin, Casey c’était levée avec une idée, plus que bizarre, en tête. Enfin, quand elle avait su se lever. Parce que toute Serdaigle qu’elle était, elle n’était pas comme les autres, en parfait accord avec les cours et les livres. Bien qu’elle adore s’instruire. Cette étrange idée qui avait prit la blonde par surprise était plutôt arrivée là par curiosité.

Elle voulait voir cette fameuse volière, oui parce qu’enfaite, ce n’était que des préjugés qu’elle avait émise. Elle n’avait jamais eu le courage de monter là haut. Elle n’y avait jamais eu l’occasion non plus. Et si quelqu’un la voyait là, sans lettre à poster, cela serait assez ridicule non? Voila pourquoi, elle c’était levée de bonne heure. Elle ne voulait pas se rendre au déjeuner. Elle prit un bout de parchemin, écrivit «

Putain de peur du vide à la con ! » et la plia. Elle aurait put faire semblant que c’était une lettre si elle croisait quelqu’un là-bas. Elle descendit les marche qui la séparait de la grande porte de chêne, sortit et respira un bol d’air. Elle se dirigea vers la haute tour et regardait les marches d’en bas. La tête lui tournait déjà. Casey était assez courageuse, elle nu donc pas trop de mal à prendre sur elle-même et monter les marches. Arriver au trois quart, elle la bonne idée de regarder en bas. Mauvaise idée. Ses jambes se bloquèrent, la peur la paralysait. Son bout de parchemin dans la main. Elle ne bougeait plus. Elle ne put s’empêcher d’hurler.

CASEY A

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Merde ! J’en ai marre !

» Owen